Si des mesures devaient être prises, elles concerneraient plutôt les classes de l'enseignement secondaire. Il pourrait notamment s'agir de division des classes en groupes A et B. 

Certains établissements du pays ont déjà fait la demande, à l'image du lycée Michel Lucius dans la capitale.

Pour autant, de nouvelles mesures ne s'avèrent pas fondamentalement nécessaires au vu des chiffres.

"Le scénario 1 a prouvé son efficacité. C'est plus qu'une impression, c'est une certitude", assure Romain Nehs.

Les contaminations augmentent avec l'âge. Une centaine de cas sont recensés chez les élèves de 10 à 12 ans, 120 cas pour les 14-16 ans et 140 cas pour les 16-18 ans.

Une évolution "linéaire", mais "modérée", commente Romain Nehs.

"L'école n'est pas le vecteur du virus dans la société", assure Romain Nehs. 

L'enseignement fondamental est par ailleurs moins touché que l'enseignement secondaire. 

En outre, si des mesures devaient être prises, elles concerneraient l'enseignement secondaire.