"Le virus est beaucoup moins présent chez les enfants de cycle 1", affirme Romain Nehs. Un élément important sachant que les mesures sanitaires en place sont plus légères chez les plus jeunes.
A l'inverse, "une brusque accélération" est à noter du côté de l'enseignement secondaire. Les filières générales sont plus touchées que l'enseignement classique, souligne-t-il.
"S'il devait y avoir des mesures, ce serait plutôt dans les classes supérieures que dans les classes inférieures."