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Le Conseil constitutionnel valide les résultats du premier tour

17:08
13.04.2022
Le Conseil constitutionnel a validé mercredi les résultats définitifs du premier tour de l'élection présidentielle, le 10 avril, qui a vu Emmanuel Macron et Marine Le Pen se qualifier pour un second tour le 24 avril.

Sur un total de 48.747.876 d'électeurs inscrits, le nombre de votants a été de 35.923.707, soit un taux d'abstention de 26,31%, selon ces chiffres, qui confirment avec des différences infimes ceux déjà publiés lundi par le ministère de l'Intérieur.

Le nombre des bulletins blancs est de 543.609, celui des bulletins nuls de 247.151. Les suffrages valablement exprimés s'établissent à 35.132.947.

AFP

Macron l'emporterait par 53% contre 47% à Le Pen (sondage)

13:36
13.04.2022
 Le président sortant Emmanuel Macron l'emporterait au second tour face à Marine Le Pen, avec un score de 53% contre 47% pour la candidate RN, selon un sondage Opinionway-KéaPartners pour Les Echos et Radio classique publié mercredi.

Emmanuel Macron perd ainsi un point par rapport au sondage réalisé mardi par l'institut, et Marine Le Pen en gagne un.

Il y a cinq ans, Emmanuel Macron s'était imposé par 66,1% des voix contre 33,9% pour Marine Le Pen.

Selon ce sondage, 69% des électeurs ont l'intention d'aller voter le 24 avril pour le deuxième tour de la présidentielle. L'abstention avait atteint 26,3% au premier tour.

AFP

Macron accuse de «dérive autoritaire» Le Pen, qui fustige sa «fébrilité»

09:44
13.04.2022
Emmanuel Macron a accusé mercredi son adversaire d'extrême droite à la présidentielle Marine Le Pen de «dérive autoritaire» à l'égard de la presse et des institutions, cette dernière fustigeant en retour sa «fébrilité».

Quand la candidate du Rassemblement national «dit 'vous êtes journaliste, mais monsieur ne l'est pas parce qu'il dit des choses qui ne me plaisent pas', on a le début d'une dérive autoritaire», a déclaré mercredi matin sur France 2 le président candidat, en notant que le même jour son opposante avait proposé de «changer la Constitution à sa main».

Interrogée sur ces propos, la prétendante d'extrême droite s'est demandée ironiquement s'il s'agissait du «même président de la République qui a supprimé la salle de presse à l'Élysée» et «qui a créé un scandale au sein des rédactions parce qu'il voulait dans chaque rédaction choisir les journalistes qui le suivaient».

AFP