Paulette Lenert: "J'ai eu beaucoup d'échanges à ce sujet. Nous communiquons sur les causes de l'infection systématiquement. Les informations sont toujours basées sur les récits des gens, ce ne sont pas des données factuelles. Ce que nous partageons, ce sont les tendances, mais pas les données stables elles-mêmes (géographiques, etc).
Dès lors, il n'est pas possible de faire une communication transparente tous les jours. On peut faire une répartition par genre, par âge, par résidents/non-résidents, mais il est très difficile de faire rentrer des histoires personnelles dans des statistiques.