Paulette Lenert: "Nous partageons le plus vite possible les informations dont nous disposons. Il n'y a pas de rétention de statistiques. Une fois par semaine, nous faisons un point de la situation sur le terrain. Les chiffres publiés sont simplement ceux dont nous disposons. Nous avons beaucoup plus d'informations détaillées que nos pays voisins."

Paulette Lenert: "Le traçing manuel pourrait atteindre son niveau plafond. C'est difficile à évaluer. Si des personnes ont énormément de contacts, cela devient très compliqué. Il n'y a donc rien de prévisible. Tout dépend de l'histoire de la personne en question. Une appli de traçage est différente: c'est la personne elle-même qui a la responsabilité de tracer. Il n'y a donc pas un chiffre précis à partir duquel nous ne pourrions plus gérer la situation."

Paulette Lenert: "Nous ne savons pas s'il s'agit d'une vaguelette ou d'une réelle seconde vague. La vague ne devient claire qu'au moment où elle commence à se briser."

Xavier Bettel: "Une application de traçage n'est pas un miracle pour tout stopper. Nous avons un traçing analogique que nous ne pouvons pas remplacer. Ce serait juste complémentaire. Le digital ne pourra jamais remplacer l'analogique."